Séances
journée du 13 mai 2023
Bibliothèque de l’UFR de langue française
Matinée (Atelier XVIe siècle – 10h30)
– Véronique Montagne : « La première dialectique de langue française : Adrien L’Alemant et sa dialectique médicale »
– Astrée Ruciak : « Des juges à l’écoute d’un « bruict commun ». De quelques procédés d’accréditation d’une rumeur en sorcellerie »
Après-midi (Transversales – 14h)
– Véronique Lochert, présentation d’ouvrage : Les femmes aussi vont au théâtre. Les spectatrices dans l’Europe de la première modernité (PUR, « Le Spectaculaire », 2023)
Autour de l’euphémisme :
– Anne Boutet : « »Manger peu de ce qui est trop appétissant » : l’euphémisme à l’usage des lectrices « trop tendrettes » des Nouvelles récréations et Joyeux devis (1558) de Des Périers »
– Carine Barbafieri : « Les oreilles féminines, entre sexe et intelligence. Les euphémismes sexuels dans la comédie des années 1660-1670 »
– Myriam Dufour-Maître : « L’euphémisme au féminin, parole permise ou bord du silence ?» (autour des Précieuses et de leurs détracteurs)
13 avril 2019 - journée "Transversales 16/18 ": La facétie, approches croisées (XVIe-XVIIe siècles)
Bibliothèque de l’UFR de Langue française
Matinée 10h
Dominique BERTRAND, Introduction
Tiphaine ROLLAND, « Facétieux et facetus au milieu du XVIIe siècle : tractations terminologiques et axiologiques »
Anne BOUTET, « Philippe d’Alcripe, facétieusement vôtre ? La Nouvelle fabrique des excellents traits de vérité ou la composition savante et livresque comme « don Saturnial » pour « délecter les garçons » »
Leslie O’MEARA, « Philippe d’Alcripe en peinture. Présentation de projet d’exposition »
Après-midi 14h
Marie-Claire THOMINE, « Remarques sur le portrait d’auteur dans les ouvrages facétieux »
Louise AMAZAN « Le Parangon de Nouvelles honnestes et delectables (1531) : fabrique éditoriale et enjeux poétiques »
Elsa VÉRET, « Les traductions des énigmes des Nuits facétieuses de Straparola et leurs rééditions (1560-1638) »
Carine BARBAFIERI, « Permanence et nouvelles légitimations de la facétie dans le XVIIe siècle policé »